Qui sommes nous ?

ou "que faisons nous de ce que nous sommes?
et sommes nous
ce que nous faisons? "

 

Une question légitime revient souvent dans les contacts que nous avons. Qui êtes vous et quelles sont vos formations?

Quelles références, accréditations, diplômes avez vous pour diriger des travaux tels que vous les proposez. Quelles expériences ?

Légitime car s'engager ou même seulement expérimenter des travaux  d'instrospection, de remise en question, des  pratiques de rituels ou des méthodes plus classiques de bien être nécessitent de pouvoir le faire en toute confiance et autonomie.

La confiance  peut être spontannée dans une rencontre ou réfléchie, mais indispensable pour tous de savoir où l'on pose les pieds.

Pour voyager je prépare conciensieusement mon sac ou je m'eclipse les mains vides, entre ces deux méthodes une multitude d'autres propres à chacun et à l'instant du départ. Le plus important reste le voyage qu'il soit initiatique ou touristique.

 

Nous dirigeons  des travaux depuis 10 ans,  d'une façon autonome.

L'autonomie, son apprentissage son déploiement, est la base où  chacun peut  expérimenter, apprendre et maîtriser.
Si être guidé dans des pratiques est nécessaire, le travail que chacun fait reste le plus important. Les fruits et les rencontres n'ont pas le même goûts pour tous, la vitesse et la fluidité des corps ne sont pas les mêmes, les problématiques et les agês sont différents. 

Pour chaque étape de la vie les outils pour tailler son jardin ou débroussailler sa route ne sont pas les mêmes. 

Et on en arrive à la question cruciale des outils. Quand et comment se permettre  d'utiliser tel ou tel outil.

La maîtrise semble être la qualité indispensable, mais avec elle d'autres tout autant. Les motivations, les attentes, l'égo et la personnalité des intervenants peuvent alterer cette maîtrise et ses résultats. 
Dans un domaine si peu structuré que celui du développement personnel et des rituels dits traditionnels ne pas oublier que nous sommes aussi dans un travail permanent d'évolution. Et nous ne sommes aussi que des outils. 

 

Pour les Sweat Lodge par exemple, quoi de plus simple que d'allumer un feu, faire chauffer des pierres et verser l'eau?

S'impregner de la complexité de la structure de la hutte, de son histoire et de sa pratique vivante, des symboles qu'elle active et surtout des postures et réactions qu'elle déclenche est plus difficile. Pour cela être initié , avoir pratiqué traditionnelement l'Inipi est la première étape. Ensuite trouver sa place dans ce rituel et n'en pas douter une seconde, se remettre en question et faire à chaque travaux une descente en soi pour ne pas oublier l'essentiel: nous partageons et donc ne sommes pas des directeurs de consience ou de vie.

Pour ceux qui souhaitent s'engager sur la voie rouge des Lakotas, c'est avec  les Lakotas qu'ils pourront le faire.

Cela est valable pour toutes les voies, chamaniques, spirituelles, yogiques, corporelles, lentes ou longues...

Nous avons chacun une typologie interieure et physique, consciente et subtile; indéniablement reliées.

Réactiver, éclaircir, découvrir, apaiser, peu importe la nature du travail à faire si il est fait dans la perpective de trouver  les moyens d'y parvenir.

Pour cela aujourd'hui un panel incroyable est proposé à tous. Les voies sont effectivement multiples; les techniques et leurs certitudes d'être ce qui il y a de mieux peuvent troubler et dérouter certains.  

Travailler à  la modestie pour éviter toutes les dérives egotiques et autoritaires, devrait être la base des pratiques dites spirituelles et d'évolution. Quand aux pratiques de guerison, les apprehender comme des guerisons intérieures aux blessures de la vie et developper l'assurance  et la clairvoyance dans ses choix est un bon point de départ. 

Dans cette perspective, garder toujours à l'esprit qu'inventer sa vie est aussi une voie qui devrait être acccessilble à tous. 

 

A bientôt

Anya
 

Anya:

Son enfance en Afrique lui a offert une relation particulière avec le monde qui nous entoure

et une philosophie qui lui confère une joie de vivre naturelle.

Elle a eu,  comme elle le répète,  " la chance d'y grandir en toute liberté ,

le coeur et le corps nourris  de la grande douleur et la puissante force de la Terre".

Son retour en France lui permet de voir l'exil intérieur en chacun.

Tabaquera depuis plusieurs années, Anya a developpé son savoir faire

au travers de ses fortes experiences de vie et particulièrement grâce à son parcours

auprès d'une femme berbère qui a su réveler ses dons et son lien au Tabac.

Anya a pratiqué le SetaÏ (pratique respiratoire japonaise) pendant sept ans,

elle l'utilise au quotidien  dans son travail d'accompagnement des personnes.

Elle a été formée au massage ayurvédique Abhyanga

qui reste un outil fondamental d'approche de l'autre

et un soin enérgétique puissant.

Elle offre son savoir faire dans un total don de soi et avec une grande simplicité.

 

Anouschka:

Depuis l'enfance Anouschka doit gérer une santé difficile.

Ce qui aurait pu être un handicap s'est avéré devenir une puissante énergie de vie et de perception.

Sa recherche de guérison personelle l'a menée à étudier l'aromathérapie, la lithothérapie,

le massage ayurvédique, ainsi que la diététique.

Ses rencontres  primordiales  avec le rituel de la sweat lodge

 ont  stabilisé durablement son état de santé.

Elles ont affiné  sa vocation spirituelle dans les chemins de guérison,

permis d'en appréhender les processus d'évolution dans une vision holistique.

La pratique du chant comme vecteur de soin est son outil central.